C'était un après-midi d' août, à l'heure ou la chaleur fait place à la douceur et ou l'on s'abandonne volontiers sur la terrasse, un verre à la main.

Nous l'attendions, ah oui, nous l'attendions Charlotte! Cela faisait huit mois que j' avais lancé l'idée à mon réseau d'amies coquines : trouver des jeunes femmes délurées et impudiques, qui viendraient se faire retrousser, puis déculotter et examiner dans les moindres détails... mes mains et celles de Michel sauraient amener ses petites coquines à ce qu'elle réclame que nous les fassions jouir...

            Alexie, ma Fidèle complice, celle qui déborde d'imagination et invente sans cesse des jeux toujours plus vicieux pour Michel (voir mon blogue), a tout de suite relevé le défi.

            -Des petites cochonnes vicieuses, il y en a, j'en connais quelques-unes...

            Mais bon, de la à venir taper à la porte...

            Le principe du jeu et la mise en scène étaient très précis. Tout devait être fait pour que la jeune femmes soit amenée au maximum de l'excitation, sans qu'elle puisse se toucher elle même : Une fille vient sur rendez-vous, seule, après une rencontre préalable. Elle sera déshabillée, totalement ou partiellement puis déculottée après une heure ou plus de caresses et de palpages divers. Ensuite, sa culotte est savamment baissée, et son intimité est soigneusement examinée. Fente ouverte, décalotage du clitoris, doigtage, dilatation, etc. On vérifie sa production de mouille, et on s'assure que sa culotte et bien imprégnée, tachée et souillée. Son anus est également inspecté. Pour finir, elle est masturbée jusqu'à ce qu'elle jouisse. La variante, est de la faire jouir en lui faisant nettoyer sa culotte. J' adore.

            Bref, c'est tout ce que j'aime et que je demande à mon chéri soumis qu'il me fasse...

            Donc, nous attendions Charlotte, une jeune fille de 25 ans amies d' Alexie que nous avions rencontré à plusieurs reprises à l' occasion  de soirée particulière.

            Elle a sonné à 16h.

            Elle était habillée d' un petit chemisier blanc, et d'une jupe blanche également, arrivant à mi-cuisses. Cette fille aux formes généreuse avait un corps magnifique. On à souvent tendance à penser que les petites cochonnes n'ont pas été gâtées par la nature, et bien je peux vous affirmer que pour celle que je connais, c'est tout le contraire !

            Visiblement elle était troublée, et ne pouvait cacher son excitation. Elle ne l'aurait de toute manière pas caché longtemps ! Quand je l'ai embrassé, j'ai sentit qu'elle était à fleur de peau, et quand Michel l'a embrassé, les frissons étaient visibles sur sa peau bronzée. Elle devait avoir son « cinéma » en tête depuis bien longtemps...

            Nous avions soigneusement mis au point nos techniques avec Michel. De nous trois, chacun savait pourquoi il était là, et il n'était pas question de faire semblant. Pendant que nous la dirigions vers la terrasse où nous allions l'accueillir avec une petite coupe de champagne, je l'ai pris par la taille. Mes mains n'ont arrêté d' effleurer ses hanches, son ventre, puis ses fesses. Un fauteuil particulier lui avait été réservé, le genre de fauteuil dans lequel, une fois installé, on à du mal à se relever. Elle n'avait pas beaucoup parlé depuis sont arrivée, quelque banalités. Elle était sagement installée en face de nous, sa robe un peu remonté sur les cuisses, trop sagement. Nous nous comprîmes avec Michel. Il se leva, se dirigea vers elles et remonta  sa robe sur son ventre. Elle souleva ses fesses, pour qu'il puisse la retrousser complètement. Nous nous régalâmes

de découvrir sa petite culotte de coton blanche, les seules qui devraient être autorisées ! Elle était toujours muette.

            -Et bien charlotte, tu as une bien jolie culotte et je ne crois pas que tu sois simplement venue boire un verre non ?

            Je voulais qu'elle parle, qu'elles se dévoilent en toute impudeur, son phantasme intime, elle devait nous le faire partager...

            -Euh, Caroline ,ce n'est pas facile, oui, je suis venue vous montrer ma culotte et vous faire découvrir ce qu'il y a dedans...

            Michel la prit par la main et la plaça debout.

            -Tient ta robe comme il faut, lui ordonna'il.

            Elle se retroussa, tenant le vêtement roulé au-dessus du nombril et découvrant à nouveau sa culotte.

            -Je vais t' aider ma chérie. Nous, nous sommes la pour te faire plaisir. Nous sommes curieux de découvrir se qui se cache dans ton slip chéri, et dans quel état tu es, que peut tu nous dire sur toi ? 

            -Je suis si excitée a l'idée que vous allez me déculotter, m'examiner et que je ne pourrais rien cacher. J'ai envie que vous sachiez tout de moi, est-ce que je peux me toucher ?

            -Ça nom ma chérie Seul Michel et moi pouvons le faire, mais, tu dois te livrer entièrement et nous raconter, mais tu gardes les mains le long du corps !

            -Je veux être obéissante...Je vous avoue que j'adore me faire branler, et qe l'on me regarde jouir... Je préfère de loin ça à une bite !

            Elle en pouvait déjà plus. Elle ne pensait tout de même pas qu'elle allait se faire branler et jouir à peine arrivée !

            -Dis donc, tu es plutôt bien roulée...

            -Montre-nous comment tu es faite charlotte ! Ajouta Michel

            Elle était à un mètre de nous. Elle fit plusieurs fois le tour sur elle même, faisant onduler son corps, comme une danseuse de bar, cambrant exagérément ses reins pour mettre en évidence sa croupe ronde, écartant les cuisses et tendant son ventre en avant pour exhiber son entrejambe.

            -Mon cul vous plait ? Je peux baisser mon slip pour vous le montrer ?

            Je la coupai net :

            -Continue charlotte, quand nous t'arrêterons, tu devras garder la position !

            La jeune femme continua sa danse lubrique. On pouvait deviner sur son visage souriant un véritable bonheur. Nous l'avons arrêter une première fois dans une position très cambrer.

            -Creuse bien tes reins...

            Par-derrière, nous avons commencé à caresser le haut de ses cuisses du bout des doigts. Michel lui a également tapoté le cul pour le flatter.

            -Ah oui, Michel et Caroline, touchez-moi...

            Mais au contraire, nous avons pris soin d'éviter toute palpation franche de son entrejambe. Elle tortillait véritablement son cul ! Nous continuions à lui caresser les cuisses et le ventre.

            -Danse à nouveau ! Ordonnais-je

            Elle s’exécuta.

            -Stop !

            Cette fois la position était à l'inverse de la précédente, le ventre bien en avant. Comme elle était en déséquilibre, nous l'avons aidé à s'installer à quatre pattes, mais ventre en l'aire, reposant sur ses bras en arrière, cuisse ouverte de manière à ce qu'elle nous offre sa culotte de face. Difficile de faire plus obscène ! Sa robe était remontée sur son ventre. Michel à ouvert en grand ses  cuisses.

                  Charlotte, déculottée la fente et le slip gorgé de foutre et de sperme,

                                          se laisse docilement déshabiller

            -Ce n'est pas très confortable charlotte, mais ça ne va pas durer longtemps chérie. Nous voulons juste vérifier si ta culotte est mouillée comme il faut. Comprends que tu seras déculotté que lorsque  ton slip sera une véritable éponge !

            Puis je m'adressais à Michel :

            -Crois tu qu'elle est prête ?

            -Ouiiiiii, je mouille comme une pute depuis que je suis là ! Réclama'elle.

            Nous ne fîmes pas de cas à sa revendication. Charlotte portait un amour de culotte, Un coton blanc très fin qui moulait parfaitement son intimité. Tout était dessiné, y compris une petite bosse en haut sa fente à l'emplacement du capuchon du clitoris. Il était d’ailleurs certainement décalotté.

            -Regarde, elle est tachée.. Du bout du doigt, je caressais la fente de charlotte à travers le fin tissu.

            -Vous voyez que je mouille, Michel regarde...

            Elle ouvrit encore plus ses cuisses. À son tour mon chéri caressa l'entrejambe de Charlotte. Elle haletait comme un toutou... En fait, elle était trempée ! Son jus avait traversé le tissu et se répandait. L'intérieur de ses cuisses était également luisant et poisseux. Nous interrompîmes nos attouchements.

            -Debout, mains sur la tête !

            Charlotte se leva et s'exécuta.

            -Nous allons te déshabiller maintenant

            -Oh oui, branlez moi s'il vous plait !

            -Plus tu réclames, plus nous attendrons, petite cochonne...

            -Michel, caroline, je n'en peux plus, je peux me branler ?

            -Ne t'y avise pas, sinon tu te rhabilles et tu rentres chez toi !

            -Oh non, pas ça !

            Nous aurions été aussi punis qu'elle !

            On ne l'entendit plus râler pendant un bout de temps. Elle haletait, poussait des petits gémissements, et sa respiration était rapide. Nous avons déboutonné lentement son chemisier, en prenant tout notre temps. Entre chaque bouton, nous faisions un pose pour glisser nos mais à l'intérieur du vêtement et jouer avec ses pointes bandées.

            -Tu bandes chéri.

            -Ouiii

            Charlotte s'est retrouvée torse nue, exhibant des seins de bonne taille, bien remontés décorés de longues tétines.

            -On pourrait presque la traire !

            Nous rimes de bon coeur, mais la jeune femme était si excité par nos commentaires quelles désobéit et essaya de glisser une main ente ses cuisses. Nous pûmes l’arrêter à temps. Sa robe dégrafée tomba à ses pieds.

            -Écarte ! Ordonna Michel

            Charlotte obéit. Michel glissa sa main sur l'ente-jambe.

            -Elle est dans un état, s'exclama'il, il ne faudrait pas qu'elle jouisse comme une petite chienne, sans prévenir...

            Il retira sa main et l’essuya sur son visage. À mon tour, je caressais son slip poisseux, puis je lui fit sucer mes doigts.

            -Tu aimes ton jus de pute Charlotte ?

            -Oui, j'aime le jus, répondit-elle en haletant.

            -Le jus?Tu veux dire le jus de mâles aussi ?

            -Je ne sais pas...

            -Viens voir chérie.

            Sans baisser son slip, je tirai sur l'élastique. Nous contemplâmes son con lisse baignant dans son foutre.

            -Tu es belle chérie, veux tu que nous te branlions ? Veux-tu jouir devant nous ?

            -S'il vous plait... Caroline, Michel, branlez-moi...

            Je relâchais d'un coup l'élastique qui vint claquer sur son ventre. Je fis mine de baisser son slip, mais me contenait de le rouler. Son pubis tout lisse était totalement dégagé, mais toute la fente était bien au contact du coton juteux. Nous fîmes pareil pour son cul. Le slip fut roulé, pour dévoilée le haut des fesses et de la raie, rien de plus. Nous prime du recul pour la contempler, commentant à voix haute l'anatomie de notre petite femelle :

            -notre petite truie est prête à décharger chérie.

            Charlotte se mit à respirer de plus en plus en plus fort.

            -Oui chérie tu as mouillé comme il faut, nous somme content de toi, Seulement, nous sommes trop excités...

            Je pris Charlotte par la main, elle s’intailla dans le fauteuil ou elle avait bu le champagne à son arrivée.

            Tu vas pouvoir te reposer un peu. Tout en lui parlant, j’attachai ses poignets derrière le fauteuil pour être sûre qu'elle ne puisse se caresser. Face à elle, je fis glisser le short de mon chéri. Il ne portait pas de slip. Il bandait comme un âne et son bout bavait, laissait échapper un long filet de mouille.

            J'ai gobé la queue de mon chérie et l'ai tétée pour en recueillir sa liqueur. Charlotte n'en pouvait plus... Moi, j’étais dans le même état que Charlotte. J'ai retiré ma culotte, et me suis branlée comme une folle. Michel a joui dans ma bouche de grosses giclés épaisse et puissante. J'ai gardé son jus en bouche. Michel a détaché Charlotte, elle s'est levée. J'ai écarté l'élastique de son slip, et j'ai recraché le sperme à l'intérieur. Ensuite, j'ai pris soin de réajuster comme il faut la culotte de la jeune fille, je l'ai bien retiré sur ses hanches pour qu'elle moule parfaitement ses formes, et j'ai palpé son con baignant dans le foutre et le jus de couille.

            -Cadeau de la maison, ai-je rigolé, si nous passions à table ?

    En attendans la suite, voici le conte rendu de cette séance, avec le questionnaire qu'elle à rempli avant, et les résultats qu'elle à obtenu

Charlotte est une jolie femelle, agréable à caresser et à palper. Sa peau et du véritable velours. Cette jeune femme est très souple du cul et facile à engoder. On peut facilement entrer sa main entière dans son trou, avec un peu de préparation.

On ne peut pas en dire autant de son con qui reste très fermé, et pas facile à dilater.

Charlotte s’excite facilement et peut jouir de nombreuse fois, elle réclame d'ailleurs qu’on la branle, sans aucune pudeur ! Elle jouie avec de petit gémissement et décharge une bonne quantité d’un mélange de foutre mélangé à un liquide qui ressemble à de la pisse.

Étant lesbienne, je n’ai pas insisté pour la faire baiser, par contre elle à apprécié d’être enculé par Michel, de même qu’elle à pri plaisir à déguster son sperme.

Avec 7.5 sur 10, elle devra présenter une fente plus souple pour espérer améliorer son score.

Visiblement, elle aime nettoyer sa culotte, et déguster les décharges qui sont ainsi récoltées. Elle a également pris plaisir à nettoyer mon slip. C’est étonnant, dans la mesure où elle n’avait pas déclaré vouloir venir avec plusieurs culottes à nettoyer dans le questionnaire qu’elle à rempli avant de venir.

Comme elle a demandé  quelques traitements non prévus, j’ai exigé un gage.

Elle devra venir a la prochaine séance de déculottage, avec la même culotte que celle de quelle portait pour cet examen, celle que je lui ai enfilée avant de partir en prenant soin de vider le reste de sperme de Michel pour baigner sa petite fente.

Délicieuse Charlotte !

Le questionnaire de Charlotte

les résultats

Ciquez pour agrandir!

Nous attendons avec impatiece son retour...